Beauvoisin
Maire : Mylène CAYZAC
Hôtel de Ville
30640 Beauvoisin
Tel. 04.66.01.79.79
fax : 04.66.01.79.70
E-mail : accueil@beauvoisin.fr
Site: www.beauvoisin.fr
Superficie : 2 700 hectares
Population : 3 343 habitants
DÉCOUVERTE DE LA COMMUNE DE BEAUVOISIN
Beauvoisin est un village de 4000 habitants, environ 150 habitants résident sur le hameau de Franquevaux.
La commune s’étend du Nord au Sud sur plus de dix kilomètres de la plaine du Vistre aux étangs de Petite Camargue en passant par le plateau des Costières, offrant de splendides panoramas sur les Cévennes, la mer et les Alpilles. Par temps clair, le célèbre Mont Ventoux se profile à l’horizon.
En ce début du 21ème siècle, Beauvoisin s’engage dans la modernité avec une démographie qui progresse à l’image du Languedoc Roussillon. Le dynamisme du village s’appuie également sur la diversité des associations sportives et culturelles.
Le village est tourné vers l’agriculture, vergers et vignes en particulier, où est produit le fameux Costières de Nîmes, élevé en caves particulières et coopérative.
La desserte du village en transports en commun se fait par des lignes d’autobus et la ligne SNCF (Nîmes – le Grau du Roi).
Patrimoine
Installée sur un site antique, le village s’est constitué sur l’un des lieux perchés de la Costière, permettant ainsi une surveillance du territoire. Motte castrale probable, elle fut transformée en château fort et bourg castral. Ruiné pendant les guerres de religion, il est reconstruit au XVIIè siècle alors que le village est totalement acquis à la Réforme. La révolution aura raison d’une chapelle sur laquelle sera construit le temple début du XIXè siècle.
Abbaye de Franquevaux
L’histoire prestigieuse de l’abbaye cistercienne de Franquevaux commence en 1141, quand un groupe de moines cisterciens requiert l’hospitalité du seigneur Pierre de Belvedin (châtelain de Beauvoisin). Elle sera construite durant soixante dix ans, au bord du vaste étang du Scamandre. Seule abbaye cistercienne du littoral languedocien, Franquevaux se trouvait sur la route des Croisades et du commerce avec le Moyen-Orient grâce au port d’Aigues-Mortes. Elle devint alors un acteur économique et politique de première importance.
Durant les violentes guerres de religions, l’abbaye fut saccagée et démolie trois fois.
A la révolution française, elle disparaît, les moines sont chassés et leurs biens confisqués. Leur domaine foncier va donner naissance aux grands domaines des Costières.